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The distancing effect

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2021 - Épisode 7 : Comment trouver sa voix... et sa voie ?

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1 octobre 2009 - Marie-Annick Béliveau: Adoptez un musicien

Ludwig Van Montréal

27 septembre 2017 - ENTRETIEN | Cinq questions à Marie-Annick Béliveau sur Love Songs Opéra.

L'opéra

Entretien: Pauline Vaillancourt et Marie-Annick Béliveau... Libres de déranger!

ICI Radio-Canada

8 mai 2019 - Quand le chant classique rencontre la composition moderne (audio).

La Scena Musicale

15 juillet 2020 - Tête a tête avec Marie-Annick Béliveau et Don Adriano (vidéo).

Extraits de presse

“En termes de lyrisme, le public allait certainement être servi par la deuxième pièce au programme. Composée par Murray Schafer pour mezzo-soprano, ensemble et support électronique, Loving (Toi) offrait un autre visage de la modernité avec sa part d’imprévisible, mais surtout sa part de folie. La chanteuse Marie-Annick Béliveau a époustouflé par son audace et même son courage à chanter autant qu’à jouer un personnage féminin en plein délire. L’ajout d’un support électronique qui tantôt restituait, semble-t-il, les cris de la chanteuse en temps réel, tantôt diffusait une bande préenregistrée, rendait l’imbrication de toutes les voix particulièrement intéressante à écouter.”
Justin Bernard
Myscena.org, décembre 2021
“Le talent tragi-comique et vocal de Marie-Annick Béliveau est à son meilleur, alternant les registres expressifs parlés, chuchotés, chantés forte ou pianissimo avec une aisance et une diction remarquable.”
Michel Joanny-Furtin
ludwig-van.com, Mai 2018
“Il est de ces soirées dont on ne sort pas entièrement indemnes, tant la portée du discours musical est forte. L’engagement de la mezzo-soprano Marie-Annick Béliveau, accompagnée par Jean Derome au saxophone, envers ces Love Songs est absolu […] Excellente comédienne, Marie-Annick bouge sur scène, se déplace, nous fixe, devient pensive, ferme les yeux, se met à genoux... gestes parfois anodins mais qui deviennent ici lourds de sens. ”
Claudine Jacques
L'Opéra, Novembre 2017
“Donc, reprise des Minnelieder, cette fois-ci avec la mezzo-soprano Marie-Annick Béliveau, championne du répertoire contemporain, qui livra une prestation tout en douceur, sur le ton de la confidence. La classe et la légère retenue de la chanteuse se mariaient bien aux interventions du quintette, empreintes de grâce et de délicatesse, cultivant constamment un son coloré et moelleux. De ces chants lointains émanait une intimité toute contemporaine que Marie-Annick Béliveau interpréta en symbiose avec les musiciens. ”
Éric Champagne
L'Opéra, Hiver 2016
“Marie-Annick Béliveau (qui incarne une multitude de personnages) fait encore une fois la preuve de sa profonde connaissance de l’idiome contemporain. ”
Lucie Renaud
Jeu, 14 mai 2014
“L’interprétation de Marie-Annick Béliveau, pour moi, a vraiment été une prestation quasi parfaite. Sa présence sur la scène était une dramatisation du texte et je me sentais un peu à l’opéra. Vivier aurait été content, absolument. Elle avait saisi cet aspect nécessaire du texte. (Katerine Verebely : Hymnen an die Nacht, merveilleusement interprété par Marie-Annick Béliveau et Louise-Andrée Baril) Sa façon de bouger, qui était à peine…, de se manifester avec ses mains, effectivement comme un chanteur d’opéra, c’était presqu’un Liebestod à la manière de Wagner. ”
John Rea, Claude Vivier
La vie d'un héros!, Espace Musique, 7 mars 2013
“Tous les interprètes, chanteurs et musiciens sont égaux dans l’excellence des performances. Seule Marie-Annick Béliveau brille plus brillant, elle convainc dans son rôle de femme brisée et arriviste à la fois, elle impressionne par la justesse et la virtuosité de son interprétation.”
Normand Babin
neomemoire.com, Mai 2018
“Une distribution solide donnait vie à cet opéra des plus réussis. Seule Marie-Annick Béliveau pourrait se vanter de voler quelque peu la vedette dans une incarnation jouissive de Madame Lasalle, personnage tragi-comique complexe, à la fois oiseau blessé et dangereux rapace. ”
Éric Champagne
L'Opéra, Aout 2018
“Pour Marie-Annick Béliveau, qui dans cette interprétation se met à l’épreuve, passant du confort de l’expérience à l’inconfort palpable de l’expérimentation, c’est un travail colossal. Elle passe d’une mimique à une autre, projetant un sentiment puis son opposé, d’une émotion à son contraire. L’amour contrariant.”
Dino Spaziani
myscena.org, Octobre 2017
“Cette non-prédisposition ne m’empêchera pas de saluer deux choses capitales. D’abord, le tour de force incroyable de Marie-Annick Béliveau, qui a véritablement réussi à assimiler, digérer et faire sien ce rituel musical et théâtral d’une difficulté sans borne. Son travail pour devenir une sorte de corps qui chante est impressionnant"
Christophe Huss
Le Devoir, 13 mars 2015
“Un tel édifice, même si patiemment érigé, perdrait néanmoins toute assise si la chanteuse ne peut transcender la mécanique. Marie-Annick Béliveau, qui avait assisté à deux représentations en 1995, est ici absolument irréprochable. Sa voix riche et sa palette expressive nuancée en font une interprète idéale, subtile, passant avec une facilité déconcertante du ludisme pur à une troublante vulnérabilité. Elle se révèle particulièrement bouleversante lors de la dernière mue, alors que nous devenons témoins fascinés de la véritable (re)naissance de la femme."
Lucie Renaud
Clavier bien tempéré, 13 mars 2015
“Cette créature, c’était Marie-Annick Béliveau, une mezzo-soprano donnant une performance absolument brillante. D’une « mémoire à toute épreuve », cette virtuose a également fait preuve d’aptitudes dramatiques saisissantes, et nombreux sont les spectateurs qui sont sortis ébranlés par la performance."
Pierre-Luc Sénécal
Camuz, 14 mars 2015
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